La viande de gibier à l’honneur : avantages, défis et impact sur l’avenir de l’alimentation
Abzac, il prélève un 16 cors.
- Grégoire Porte Rédaction et Communication
- janvier 27, 2021
Certaines images de chasse restent gravées à jamais. Ce sera surement le cas pour la scène vécue par Tony lors d’une chasse en battue à Abzac. En effet l’homme a eu la chance de prélever un cerf. Mais pas n’importe quel cerf, lui qui chasse depuis ses dix-sept ans a pu découvrir avec stupeur et émotion le bel animal. Un cerf au trophée exceptionnel, doté de seize cors.
Un cerf exceptionnel
Même après plusieurs jours il est difficile pour Tony de s’en remettre. Lui qui affiche trente-quatre années de permis, pourrait être un habitué des beaux souvenirs. Mais cette chasse là, le marquera toute sa vie. Avoir la chance de prélever le roi de la forêt est déjà un privilège mais lui, a eu la chance de prélever un roi doté de seize cors sur la couronne.
La ramure du cerf
Les bois du cerf, productions osseuses, tombent et repoussent chaque années comme tous les cervidés. Leur développement est lié au cycle sexuel notamment à la production de testostérone. Le trophée du cerf laisse au chasseur un souvenir réel, Tony pourra contempler son trophée encore des années.
Ci-dessous, une image issue du livre de l’Association Nationale des Chasseurs de Grand Gibier, permettant de mieux comprendre la configuration des bois et de ce qu’on appelle « cors ».
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