Affaire Pilarski, la haine face à la vérité.

De nouveaux résultats viennent d’être rendus publics dans la triste affaire Pilarski. Il y a une semaine, c’était les conclusions de deux experts qui affirmaient que les blessures subies par la victime ne pouvaient avoir été causées que par le chien Curtis et pas par les chiens de vènerie.

Hier, ce sont les résultats des analyses ADN qui ont été divulgués : un seul ADN animal est présent sur la victime, celui du chien Curtis. C’est donc bien ce chien qui a tué.

Voila qui devrait clore cette affaire et permettre à la famille de cette jeune femme de trouver un peu de peu de paix.

Malheureusement, le parti des haineux ne désarme pas. L’avocate de la famille Pilarski reçoit des appels téléphoniques menaçants des « défenseurs de Curtis » : « si Curtis est euthanasié, on te bute ! »

Dès le début, la haine à l’encontre de la vénerie et de la chasse en général l’a emporté sur toute autre considération chez certains esprits malsains. Ils ont instrumentalisé la mort atroce de cette jeune femme à des fins idéologiques et personnelles.

Brigitte Bardot et sa fondation se sont particulièrement distinguées ; le tovaritch Bronizewski de AVA y est allé de ses tirades fleurant bon la lutte des classes, Hugo Clément, plus subtil, a utilisé le conditionnel mais son commentaire était bien insidieux et visait à accuser la meute. Le comble de l’abjection revient sans conteste à Rémi Gaillard qui, avec son langage fleuri, s’est lancé dans une croisade anti-vénerie. Voici quelques exemples de sa prose :

Bien entendu, aucun de ces accusateurs ne s’excuse d’avoir menti, diffamé et insulté. Il faut croire que Brigitte Bardot, Clément ont des problèmes de connexion internet car on ne les entend plus…

Et encore une fois, c’est Rémi Gaillard qui monte sur la plus haute marche du podium de l’ignominie. Non seulement, il ne se tait pas mais il continue à attaquer la chasse et les chasseurs sur son compte twitter.