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Dégradations des miradors, que dit la loi ?

Le respect n’existe malheureusement plus entre chasseurs et antis-chasse. Certains ne se cachent même plus, pour effectuer leurs méfaits comme certains collectifs comme AVA, ALF etc…

Mais de plus en plus des personnes contre la chasse choisissent le sabotage, au grand dame des chasseurs impuissants et désabusés. Ils opèrent de nuit afin de dégrader volontairement les installations dédiées aux chasseurs.

Quel est la première cible de sabotage ? Les miradors.

En effet, les miradors sont des cibles de choix de part leur localisation souvent en bordure de chemin. Mais les miradors ne sont pas les seuls à êtres impactés, vient aussi s’ajouter les pavillons de chasse.

Heureusement la loi vient protéger nos installations et nos actions de chasse que se soit en battue, durant une partie de chasse devant soi . Depuis que les mouvements contestataires sont apparue le Ministre de l’Ecologie à dû instituer une contravention spécifique de 5iéme

Mais les miradors à quoi servent-ils  ?

Les miradors ne nous servent pas à tirer plus de gibier, puisque c’est réglementé avec les bracelets. Ce sont des équipements qui permettent surtout d’avoir un tir fichant (NDLR : c’est-à-dire que la trajectoire du projectile doit arriver dans le sol et à courte distance).

L’ONCFS nous éclaire sur cette infraction.

Le respect des biens des chasseurs :

Toute dégradation du territoire ou de matériels (mirador, hutte) conduit à une sanction. L’exercice de la chasse subit parfois de fortes pressions et le code de l’environnement prévoit qu’ « est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la 5ème classe le fait, par des actes d’obstruction concertés, d’empêcher le déroulement d’un ou plusieurs actes de chasse ». Ainsi, face à des comportements de groupes contestataires, le ministre de l’Ecologie a dû instituer une contravention spécifique de 5ème classe (soit 1500 € maxi – art. R. 428-12-1 C. Env.) limitant les situations graves d’atteinte à l’exercice du droit de chasse de certains équipages.

En plus peut s’ajouter dégradations volontaires de bien d’autrui.

Le plus difficile est de récolter des informations sur les fauteurs de troubles. Les enquêtes sont parfois longues et les sanctions sont souvent jugées insuffisantes.

 

 

 

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