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Premier procès pour les menaces de mort contre Willy Schraen.

Nous relayons ici le communiqué de presse de la FNC à propos du procès qui aura lieu le 24 septembre à Saint-Omer. Ce procès est celui de 8 auteurs de menaces de mort à l’encontre du président de la FNC qui ont pu être identifiés lors du déferlement de haine subi par Willy Schraen après une interview en mai dernier.

Nous ne pouvons que nous féliciter que l’enquête ait donné des résultats et que les auteurs aient à répondre de leurs actes. Il reste à souhaiter que la sanction soit suffisamment dissuasive et que d’autres affaires similaires comme celle du guide de grande chasse Stéphane Rollet trouvent aussi une conclusion satisfaisante.

(Communiqué de presse FNC)
« Le président de la FNC (Fédération Nationale des chasseurs), Willy Schraen, avait essuyé une vague d’injures et de menaces de mort, sans précédent sur les réseaux sociaux suite à des propos qu’il avait tenus en mai dernier lors d’un « live » sur le site Chassons .com, en répondant aux interrogations des internautes sur l’impact des chats sur la biodiversité.
Volontairement déformés par les « anti-chasse » et sortis de leur contexte, ces propos ont provoqué un déferlement de haine d’une rare violence sur les réseaux sociaux.
Ces menaces ont été suffisamment prises au sérieux pour que la gendarmerie décide de placer Willy Schraen ainsi que sa famille sous protection policière.
Les investigations menées par le parquet de Saint-Omer, territorialement compétent, ont permis d’identifier et de mettre en garde à vue 8 auteurs de menaces de mort les plus graves qui ont tous reconnu les faits.
Jeudi 24 septembre prochain, à 13h30, s’ouvrira pour la première fois en France, une audience judiciaire permettant de traduire collectivement les auteurs de ces violences sur les réseaux sociaux.
Pour Willy Schraen, président de la FNC, « ce procès doit contribuer à changer les choses face à cette situation insupportable que vivent hélas beaucoup de citoyens victimes de cette violence permanente sur les réseaux sociaux. Le « vivre ensemble » n’est plus possible dès lors que ces harceleurs de la toile demeurent impunis. Je crois en la justice de mon pays et j’espère que ce procès de la dérive dangereuse des réseaux sociaux ne sera que le commencement d’un combat que nous devons tous gagner car il est juste et nécessaire ! »

 

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