La viande de gibier à l’honneur : avantages, défis et impact sur l’avenir de l’alimentation
Bécasse des Bois prélevée à l’arc traditionnel
- Julien Barraquand
- mars 18, 2016
Chasser à l’arc est déjà dur en soit mais chasser a l’arc la bécasse c’est encore plus fou pourtant Dorian Joret à réussi grâce à sa passion de la chasse à la bécasse des bois, de son setter Fly et de son arc le coup parfait.
Nous vous laissons boire ses paroles.
Nous somme samedi après midi quand je reçois un SMS sur mon smartphone. Je regarde, c’est mon pote Nico qui me demande si je veux aller a la chasse chez son ami Stéphane.
Sur le coup cela m’embête un peu car j’ai l’habitude de chasser tous les dimanches matins en famille notre gibier préférer, la bécasse des bois. Étant donnée que je suis en pleine battue au grand gibier, je décide d’attendre la fin de journée pour l’appeler, pour voir se qu’il me propose. La battue se termine au son des trompes de chasses, quatre sangliers seront levée sans pouvoir être prélevée
A 200 mètres, j’ai assisté a toute la scène, magnifique… Arrivée a la cabane de chasse, je rappelle donc le collègue :
-Allô Nico ça va ?
-Oui et toi ? Bon ça te dit de venir demain matin ?
-OK mais bon, es que ça te dérange si j’amène Fly avec moi et mon arc tradi ? Car d’habitude, je vais a la bécasse comme tu le sais bien…
-Oui pas de problème comme ça si jamais y a de quoi, elle pourra nous l’arrêter. Pour ton arc, pas de souci non plus… 8H15 a la maison demain.
La discussion continue ou je lui fis par du gibier vu dans la journée. Le lendemain, le temps est gris et humide. La brume est présente partout dans le bocage Valognais. Je ne suis pas de l’avant, mon vieux 4×4 n’a pas le temps de dire ouf, que le matériel et ma chienne a peine dans la voiture, je file chez Nico. Il est déjà prêt, son matériel est devant sa maison. Excuse du retard faite, nous partons en direction de la ferme a stéphane, a Négreville.
Arrivée devant la parcelle ou nous profiterons des corneilles et des ramiers, je me gare. Pendant que ma setter anglais se plaint dans sa caisse de transport nous partons nous installer, vêtu de nos tenue camoufler. Une bonne heure d’attente après, des pigeons trop loin et une absence de corvidés nous motivent à stopper notre affût.
En arrivent au véhicule, Fly se doutent que son heure est arrivée. Je change mon semi-auto pour mon arc tradi, ma cartouchière pour mon carquois. Nous passons par un premier champ sale ou ils en ont déjà levée, Fly trouve du frais mais que des places chaude. Ensuite nous faisons le petit bois, toujours rien et pareil dans le carré de lande. Puis Nico me dit d’un air sur : – Bon maintenant je vais t’emmener dans la boite a bécasse…
– La boite a bécasse ??? Lui dit-je amusé
– Tu va voir, c’est un petit morceau épais avec des saules coucher, la saison dernière ont en lèvent 3 dedans d’un coup!!!
Effectivement, en arrivant devant, je ne peux constater que l’endroit est un biotope a mordorée.
– Avec Fly sa va être plus facile, toi va a droite elle sorte souvent la, moi je vais de l’autre cotes, me dit Nico.
J’envoi ma chienne sous le couvert et suis sa progression attentivement. En arrivant au bout, je ne la voyais plus alors j’avance et à peine j’eus le temps de dire » Arrêt » a mon camarade que le bruit du décollage distinctif de la furtive dame des bois me fit crier « Partie »!!!!! Mon regard cherche l’oiseau mais tombe vite dessus.
Elle tricote dans les branche et rend ma décoche impossible. A 10 mètre elle sort a découvert, la flèche part, bien dans l’axe vertical. Elle rattrape la bécasse juste au dessus et lui repasse devant le bec !!! Ça y était presque!!! Je part récupérer ma flèche qui a fini sa course dans un talus.
Voyant ça, Nico me demande par ou elle ces dirigé, je lui explique et il me dit qu’il pense savoir ou elle s’est remisé. Nous passons de l’autre coté du chemin pour faire les haies plus bas, Fly cherche avec plus de ferveur qu’au début encore émoustiller par la lever. Tout a coup, elle passe sous une haie d’épine et cherche au sol avidement. Elle fait quelque mètres, fait demi-tours et se bloque a l’arrêt. Nico est a cotés de moi et me dit » si ça part, je te la laisse ». Encore une fois la bécasse ne tient pas l’arrêt et gicle vers nous en zigzaguant à tous va. Mon arc est bandé, mon regard est bloqué sur l’oiseau mais je vois mon chien derrière.
A 8 mètre de nous, elle décide de faire un crochet a droite pour monter au dessus de l’autre haie, je lâche ma flèche qui file droit sur elle, un son sourd et un nuage de plume me confirme que mon tir était réussi. Sur le coup je reste bête, la bécasse est partie et ma flèche quand a elle est restée quasiment sur place.
Nico me rassure, la flèche est bien placé et elle a bien accusée le coup. Je rappelle ma chienne et nous décidons d’aller la chercher. Je dit a Nico que si jamais elle décolle, qu’il n’hésite pas a tirer une cartouche pour être sur quelle ne parte pas blessé…Je suis dans un tel état d’émotions que j’ai l’impressions d’être ailleurs. Au bout de cinq minutes de recherche, ma chienne fait un nouvel arrêt ferme dans la bout de la même haie.
Je r’encoche une flèche et nous nous plaçons de façon à se tenir prêt à un nouveau décollage.
– Tu est prêt Nico ?…FLY…. TCHOUPE !!!!! La chienne a avancé de quelque centimètres seulement, je rassure mon collègue…
– Nico c’est la, c’est sur, elle est verrouillée, tu es prêt ??? Fly….TCHOUPE!!!!! La chienne boule et Nico me lance « Je la vois….c’est bon, elle la ! » A cet instant, c’est la délivrance, je me sens bien. J’ai réussi a prélever ma première mordorée a l’arc. Mon objectif de la saison a était rempli, je suis heureux. Je récupère le belle oiseau et apprécie le moment avec mon copain. Je félicite ma chienne pour m’avoir fait vivre ce moment…Ce dimanche 24 janvier restera graver dans ma mémoire a jamais….
Voici une autre sortie qui montre l’engouement de la chasse à la bécasse à l’arc .
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