La viande de gibier à l’honneur : avantages, défis et impact sur l’avenir de l’alimentation
Le coup de patte d’Étienne.
- Denis Plat
- octobre 8, 2020
« UN CHASSEUR SACHANT CHASSER DOIT SAVOIR CHASSER SANS SON CHIEN. »
Que veut dire ce vieil adage ? Qu’un bon chasseur doit pouvoir se passer de son chien ?
Quoi qu’il en soit, avec ou sans chien, savoir chasser demande au minimum à savoir chasser en fonction de ce que l’on chasse et, par voie de conséquence, à connaître au moins, voire au mieux, l’espèce chassée.
C’est, en tout cas, ce que laisse à penser l’obtention du permis de chasser.
Un chien, une chasse et vice versa.
Ce qui voudrait dire qu’un chien courant n’est pas un chien d’arrêt, et un chien d’arrêt n’est pas un chien courant.
Toutefois, un chien de rapport sur petit gibier de terre et d’eau peut, dans une traque forestière, s’en prendre au cerf, au chevreuil et même au sanglier.
Il n’est plus rare de voir aujourd’hui des chiens dits de rapport être mis régulièrement sur la voie de grands animaux. Parmi ces chiens, il en est d’ailleurs qui n’en démordent plus.
Quel que soit le mode de chasse, le chien est un compagnon à nul autre pareil que le chasseur doit choyer. La complicité entre les deux ne peut être que meilleure.
Et de conclure par ce qui pourrait être l’adage du moment :
CHASSER SANS CHIEN, C’EST COMME NE PAS CHASSER, IL MANQUE QUELQUE CHOSE.
Étienne VAN DEN DRIESSCHE
ANNONCES
Les dernières actualités
ANNONCES
ANNONCES